« Uber, si on y va, c’est que nous n’avons pas d’alternative »

Jeunes, peu diplômés et vivant dans des villes aux taux de chômage élevés, plus de 10 000 personnes se lancent chaque année dans l’aventure des VTC. A la clé, un emploi, mais pas forcément un salaire décent.

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One thought on “« Uber, si on y va, c’est que nous n’avons pas d’alternative »

  1. Le relatif génie des plateformes : exploiter les acquis sociaux (dont les infrastructures), s’évader des taxes et rentabiliser la précarité.

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