Cette intéressante (et effrayante) étude sur les utilisatrices de capteurs d’activité montre que la plupart d’entre elles ont adopté ces dispositifs comme s’ils faisaient désormais parti d’elles-mêmes, cessant ainsi de les considérer comme des technologies externes. Impactant profondément leurs décisions (alimentation, activité), ils contribuent à leur autosatisfaction, mais aussi à leur oppression.
Nous sommes confrontés maintenant à des technologies bioniques internes au corps, riches en données, qui peuvent changer pour toujours ce que cela signifie d’être humain.
Source : Comment nous avons découvert le côté sombre des objets de fitness connectés