Les projets d’installation de caméras sur la voie publique donnent généralement lieu à des débats enflammés autour de la protection des libertés individuelles de l’individu-citoyen. En revanche, leur utilisation au sein de l’entreprise semble mieux acceptée par l’individu-salarié. C’est sans doute parce que ce dernier n’a, le plus souvent, pas vraiment le choix, et… qu’il fait plus confiance à son entreprise qu’à l’Etat, estime, dans cette tribune, Caroline Diard, professeure à l’Ecole de Management de Normandie.