« Recrutés » en tant qu’autoentrepreneurs, les livreurs à vélo de la foodtech Take Eat Easy, placée en redressement judiciaire, ne seront pas payés pour leurs prestations du mois de juillet et n’ont plus qu’à se chercher un autre job… sans avoir droit au chômage.
Source : Take Eat Easy montre les dangers de l’ubérisation du travail