Une étude de Greenpeace portant sur les terminaux mobiles pointe les tactiques des fabricants pour gêner ou interdire la réparation. Dans le même temps, un rapport du Parlement européen montre que la réparation ou le réemploi des objets du quotidien pourrait créer 200 000 emplois non délocalisables en Europe. Le choix semble vite fait, mais il pourrait ne pas être identique entre entreprises et consommateurs/citoyens…
Sources :
Comment Apple, Samsung et Microsoft organisent l’obsolescence forcée
Donner une seconde vie aux objets du quotidien permettrait de créer 200 000 emplois en Europe
Comment Bruxelles envisage de lutter contre l’obsolescence programmée : http://www.numerama.com/business/273049-comment-bruxelles-envisage-de-lutter-contre-lobsolescence-programmee.html
Les associations protégeant le consommateur et l’environnement naturel sont en retard dans les domaines de recherches techniques et scientifiques : l’obsolescence forcée n’est pas causée uniquement par le problème de réparation ou la maintenance de ces appareils mais cette obsolescence peut être causée par trop de publicité trompeuse ou un manque de conseils offerts par ces associations.