Dans son rapport au vitriol sur l’Etat actionnaire, la Cour des comptes n’épargne pas la gestion de sa participation au capital de l’opérateur historique, estimant notamment que « la réticence de l’État à voir sa participation diluée et son influence réduite peut (…) constituer un handicap pour l’avenir d’Orange ».
Face à cette position qui prône un désengagement de l’Etat, la CFE-CGC Orange et l’ADEAS (Association pour la Défense de l’Épargne et de l’Actionnariat Salariés) proposent une analyse plus nuancée, développée dans ce communiqué de presse.