Au-delà de l’hémorragie dans les emplois directs du secteur télécoms, les emplois indirects sont évidemment menacés eux-aussi. En témoignent les 3 000 emplois qui risquent de disparaître dans les centres d’appels prestataires de SFR, futures victimes collatérales de la politique « drahistique » de réduction des coûts de l’opérateur au carré rouge.
Source : Vent de panique dans les centres d’appels prestataires de SFR