Alors qu’on assiste, notamment sous l’impact des technologies numériques, à la disparition progressive du cadre temporel et spatial « habituel » de la journée de travail, ce qui incite les employés à être toujours « en veille », une nouvelle tendance vient aggraver ce phénomène : les individus ont maintenant la responsabilité d’améliorer leur employabilité, en acquérant de nouvelles compétences, en se faisant de nouveaux réseaux, en apprenant de nouvelles expériences de vie… le tout durant leur temps libre.
Une très intéressante tribune d’Aurialie Jublin, co-pilote du projet Digiwork à la Fing, et l’une des intervenantes de notre Université d’été 2015, synthétisée dans notre ouvrage « Enjeux de la numérisation de nos vies ».
Source : Comment l’employabilité a-t-elle tué le temps libre ?