Suite (?) aux griefs exprimés par ses anciens cadres à son encontre, Facebook a, dans un article de blog publié par deux de ses chercheurs, reconnu qu’il pouvait être « mauvais » pour une partie de ses deux milliards d’utilisateurs :
En général, les gens qui passent beaucoup de temps à consommer de manière passive des informations, c’est-à-dire qui lisent mais qui n’interagissent pas avec les autres, se sentent mal.
Mais pour résoudre ce problème, la solution est toute trouvée : être plus actif… sur Facebook !
Facebook ne sera plus un problème si vous l’utilisez davantage et mieux.
Honte aux générations de chercheurs qui sont passés à côté d’une telle évidence…
Source : Facebook admet qu’il peut être néfaste, mais suggère que c’est de notre faute