Qualité de vie au travail : les enjeux | Agence nationale pour l’amélioration des conditions de travail (Anact)

L’accord national interprofessionnel et le plan santé au travail 2016-2020 Depuis l’accord interprofessionnel de juin 2013 « Vers une politique d’amélioration de la qualité de vie au travail et de l’égalité professionnelle », les entreprises sont incitées à expérimenter de nouvelles manières de concilier performance et mise en œuvre d’organisations du travail favorisant les conditions de travail et de vie des salariés.

Source : Qualité de vie au travail : les enjeux | Agence nationale pour l’amélioration des conditions de travail (Anact)

Une présentation de Julien Pelletier, qui était l’invité de la CFE-CGC Orange mardi dernier, et dont vous pourrez bientôt retrouver la vidéo sur la WebTV de la CFE-CGC Orange.

Olivier Glassey: «La plupart des jeunes n’ont qu’une curiosité limitée pour la technologie et sont peu autonomes»

Source : Olivier Glassey: «La plupart des jeunes n’ont qu’une curiosité limitée pour la technologie et sont peu autonomes»

Un éclairage intéressant sur l’appropriation des nouvelles technologies. Nous verrons ce que nous en dira, lundi, Sandra Enlart, qui intervient au séminaire CFE-CGC Orange : c’est une spécialiste des apprentissages dans nos nouveaux environnements numériques.

Observatoire des marchés des communications électroniques

Source : Observatoire des marchés des communications électroniques – Services fixes haut et très haut débit (suivi des ABONNEMENTS) – 3ème trimestre 2016 – résultats provisoires (publication le 1er décembre 2016)

L’Arcep publie coup sur coup son observatoire du haut et très haut débit avec les derniers chiffres, mais également l’édition 2016 du Baromètre du numérique. Un extrait de l’infographie pour vous mettre en appétit, nous vous laissons découvrir le reste sur le site de l’Arcep…

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« En Afrique, Orange bouscule les habitudes dans la banque »

Malgré son énorme potentiel, les banques, africaines et européennes, ont ralenti leur développement d’agences sur le continent, selon une étude du cabinet Nouvelles Donnes. Pendant ce temps, un acteur à la croissance exponentielle a émergé : le service Orange Money de l’opérateur télécoms français. Le géant panafricain Ecobank a commencé à réagir.

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Si Fillon parvient à l’Elysée, privatisera-t-il Orange ?

Le candidat de la droite et du centre à l’élection présidentielle s’est dit favorable à des privatisations pour relancer l’investissement dans les infrastructures, et notamment dans le très haut débit. De quoi relancer le débat sur le maintien de l’Etat au capital de l’opérateur historique, dont il contrôle 23%.

Source : Si Fillon parvient à l’Elysée, privatisera-t-il Orange ?

Emploi : que penser des derniers chiffres ?


Emploi : que penser des derniers chiffres ?

Valérie Segond, journaliste économique et auteure de « Va-t-on payer pour travailler ? », commente les chiffres du chômage du jeudi 24 nombre qui font état d’une réduction de 3,3% du nombre de chômeurs en catégorie A.

Source : Emploi : que penser des derniers chiffres ?

Elle sera notre invitée lundi prochain au séminaire CFE-CGC Orange, pour nous présenter son livre « Va-t-on payer pour travailler ? »

Prixtel et le pari des forfaits mobiles qui s’ajustent aux usages

L’opérateur a dévoilé de nouvelles offres dont le prix évolue selon la consommation. A La Tribune, David Charles, son fondateur, n’exclut pas de s’allier à terme avec un des nouveaux opérateurs Internet fixe de fibre optique dans les campagnes.

Source : Prixtel et le pari des forfaits mobiles qui s’ajustent aux usages

Zone euro : le taux de chômage sous la barre de 10 %, pour la première fois depuis avril 2011

Le taux chômage dans la zone euro est tombé à 9,8 % en octobre, a annoncé jeudi Eurostat, l’office européen des statistiques.

Source : Zone euro : le taux de chômage sous la barre de 10 %, pour la première fois depuis avril 2011

Télécoms : BT forcé de séparer son réseau du reste de ses activités

Source : Télécoms : BT forcé de séparer son réseau du reste de ses activités, High tech

Une sorte de coup de tonnerre dans le paysage des télécoms européennes : aux débuts de la dérégulation du marché, BT était l’opérateur historique qui était allé le plus loin dans la démarche de séparation de ses activités « réseau », en les logeant dans une entité spécifique. A l’époque, cela avait été salué par la régulation britannique et européenne, comme un acte garant d’une gestion « loyale » du réseau à l’égard de l’ensemble des compétiteurs.

Aujourd’hui, le régulateur demande la séparation juridique… et la menace de la séparation fonctionnelle ressurgit, comme un épouvantail qu’on agite sous le nez de tous les opérateurs : en France, on reproche à Orange… d’être en phase avec son plan de marche en termes d’investissement sur la Fibre, et du coup d’être leader sur son marché domestique. L’idéologie de la concurrence effrénée continue de déboucher sur des absurdités :

  • on ne peut pas à la fois prôner la concurrence par les infrastructures (position du régulateur français notamment) et pénaliser ceux qui investissent, pour le bénéfice collectif de tous les acteurs économiques du territoire, qui ont besoin  de couverture et de débit ;
  • les télécommunications, et particulièrement l’activité d’opérateur de réseau, sont une industrie d’économies d’échelles, où atteindre une taille critique en termes de nombre de clients connectés à son réseau est la clef de voute d’une rentabilité suffisante pour assurer la capacité future d’investir, tout en maintenant des tarifs de détail accessibles pour les consommateurs. Toutes les études économiques le démontrent, et ce depuis longtemps (revoir la présentation de Laurent Benzoni, Professeur à la Sorbonne et spécialiste de la régulation, très explicite à ce sujet).

Or, que constate-t-on dans la réalité, et en particulier à l’égard des opérateurs historiques, soupçonnés de toute les turpitudes monopolistiques ?

  • On les empêche d’amortir correctement leurs infrastructures, et on les oblige à comprimer leurs personnels (la suppression de postes est actuellement, chez Orange notamment même si c’est par le biais des départs en retraite, la principale source d’économie du Groupe pour maintenir son EBITDA en France), en imposant le maintien de 4 opérateurs sur des marchés qui en réalité ne peuvent en supporter que 3 dans des conditions économiques viables à moyen/long terme.
  • Dès qu’un acteur historique se démarque par son efficacité économique, on le menace de devoir partager ses infrastructures avec les autres acteurs, à prix coûtant ou quasiment, l’empêchant ainsi d’obtenir le retour sur investissement prévu lors des décisions de déploiement des réseaux.

Au final, les revenus des opérateurs télécoms en Europe sont en baisse continue, ce qui n’est pas le cas aux États-Unis ou en Afrique. C’est en soi une aberration économique, alors que le service offert aux consommateurs ne cesse d’augmenter, en débit, en volumes d’échanges, et en couverture. L’emploi dans la filière, lui, ne cesse de se dégrader.

Il serait temps que les régulateurs prennent enfin leurs responsabilités, en matière de préservation des emplois, mais aussi de viabilité économique du marché dans la durée : si l’on veut faire de l’Europe la « Digital Society », encore faut-il que les opérateurs de télécommunications aient un intérêt à poursuivre leur activité sur le territoire (les opérateurs européens qui sont également présents outre-Atlantique regardent de plus en plus les USA comme un eldorado, et peut-être le lieu privilégié de leurs opérations pour le futur, étant tous à la peine en Europe) et le déploiement des réseaux de nouvelles générations.

Si l’on veut que l’Union européenne retrouve la confiance des peuples, il est temps qu’elle agisse vraiment pour le développement économique global de nos territoires, et non pour l’étouffement à petit feu d’activités censées porter les espoirs du futur. Que tous ceux qui la font s’interrogent également sur leurs responsabilités en matière de vote populiste : c’est tout à fait d’actualité !

 

Olivier Passet, Xerfi – La fin des 35 heures : le faux débat

Source : Olivier Passet, Xerfi – La fin des 35 heures : le faux débat – Décryptage éco – xerficanal-economie.com

Une analyse qui recoupe un certain nombre de thèmes abordés par Valérie Segond (@ValSegond) dans son ouvrage « Va-t-on payer pour travailler ?« , qu’elle nous présentera le 5 décembre prochain au Séminaire trimestriel de la CFE-CGC Orange. Vous pouvez d’ores et déjà préparer vos questions !