Source : Iliad, la maison mère de Free, revendique 13 millions d’abonnés mobiles, High tech
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Le Mobile World Congress a été le théâtre d’une passe d’armes à fleurets mouchetés entre le PDG d’Orange et Andrus Ansip, Vice-président de la Commission européenne et responsable du marché unique numérique. Au cours d’une conférence sur la 5G, Stéphane Richard a notamment invité les autorités de régulation à prendre en compte dans leurs décisions le lourd investissement consenti par les opérateurs pour adapter leur infrastructure à ce nouveau standard. Il a par ailleurs rappelé son espérance d’une (re)concentration du marché français.
MWC : le PDG d’Orange s’en prend à nouveau aux régulateurs européens des télécoms
Le rapport de la Cour des comptes évalue à 34,9 milliards d’euros le coût total du plan « France Très Haut Débit », estimé initialement à 20 milliards d’euros. Par ailleurs, la juridiction financière estime que l’insuffisance de co-investissement privé autour de ce plan compromet l’objectif de 100% de couverture en 2022. Des conclusions vivement contestées par la Secrétaire d’État en charge du numérique, Axelle Lemaire.
Source : Très haut débit : la Cour des comptes craint un dépassement de plusieurs milliards d’euros
Dans une interview au Financial Times, Sébastien Soriano s’inquiète que l’intérêt de SFR et Orange pour les médias ne freine leurs investissements dans la 4G et la fibre.
Après sa prise de position de début janvier qui avait déclenché un affrontement avec Orange (et une réaction de notre syndicat), voilà encore une nouvelle communication malheureuse du président de l’Arcep, qui intervient alors même que les opérateurs multiplient les signes attestant de leur engagement sur le développement des réseaux, à l’instar d’Orange tout récemment.
Source : Pour l’Arcep, la convergence entre les télécoms et les médias menace les réseaux
Profitant de la volonté du régulateur d’aider les concurrents d’Orange à investir plus dans la fibre, l’opérateur au carré rouge a affirmé, ce lundi, qu’il souhaitait bien en faire davantage. Il appelle ainsi à un partage « plus égalitaire » de la couverture des villes moyennes et des périphéries des grandes villes vis-à-vis de l’opérateur historique.
Source : Fibre : SFR poursuit son lobbying anti-Orange
Ben voyons ! Pour rappel, quand SFR fait 1,5 Mrd € d’investissement dans la fibre, Orange en fait 4,7 (données au T3 2016, sur la base des publications officielles de résultats des opérateurs – voir tableau récap en fin de cet article, qui remet les éléments en contexte).
Le problème, pour le moment, c’est que le plan d’investissement initialement promis par SFR n’a pas été tenu… alors qu’Orange tient ses engagements en la matière. Avant de réclamer une nouvelle part de galette, ne faut-il pas au préalable avoir terminé celle qu’on a dans son assiette ?
4 minutes d’analyse économique bien utiles par les temps qui courent, basées notamment sur les données de l’OFCE. Avec, au passage, une petite explication du multiplicateur keynésien dont nous avons récemment fait usage pour expliquer l’impact des investissements dans la fibre sur la croissance française.
Les amateurs pourront également retrouver sur le site de l’OFCE / SciencesPo les analyses et propositions de leurs économistes et chercheurs dans le cadre de la prochaine élection présidentielle.
Source : Christian Chavagneux, Alternatives Economiques – Alerte ! il faut augmenter l’investissement public
Interviewé lundi dans Les Echos à l’occasion des vœux de l’Arcep pour 2017, Sébastien Soriano, son Président, déplorait le retard de la France dans la 4G et l’Internet fixe à très haut débit, appelait les opérateurs à investir plus dans leurs réseaux et se prononçait pour… un renforcement de la régulation d’Orange dans la fibre, affirmant vouloir « attaquer les derniers bastions de son monopole ».
Si les concurrents de l’opérateur historique, forcément, se félicitent de cette prise de position, il n’en est évidemment pas de même chez Orange.
La CFE-CGC a été la première à réagir, dans un communiqué de presse paru mardi, s’interrogeant notamment sur la justesse de l’analyse du régulateur des télécoms selon laquelle « c’est donc l’acteur qui investit le plus qui devrait être sanctionné », et appelant le gouvernement à intervenir face à ces mesures « visant à punir, une fois de plus, l’opérateur dont le défaut majeur est d’être issu d’un ancien monopole d’État ».
La Direction d’Orange lui a emboité le pas, par la voix de son Directeur général délégué, Pierre Louette, qui affirme : « Si certains concurrents sont en retard, si des erreurs ont été commises, ce n’est pas à nous de les payer. Laissez-nous déployer en paix ! ».
Sources :
S. Soriano : « Les opérateurs télécoms doivent mettre les bouchées doubles dans les investissements »
Le régulateur veut des obligations spécifiques pour Orange dans la fibre
Nouvelles contraintes réglementaires sur la fibre : injustes et contre-productives pour la croissance et pour l’emploi en France
Orange au régulateur : « Laissez-nous déployer la fibre en paix ! »
L’opérateur au carré rouge multiplie les emplettes dans les médias et les contenus. Ainsi, cette semaine, il a soufflé à Canal+ l’exclusivité des chaînes Discovery et NBCUniversal. Du cinéma en passant par le sport et le divertissement, SFR a considérablement étoffé son offre ces derniers mois, poursuivant dans sa stratégie de convergence et se positionnant comme un concurrent de plus en plus sérieux face à la chaîne de Vincent Bolloré. L’opérateur vient d’ailleurs d’annoncer le lancement prochain d’une offre de télévision par satellite, vouée à concurrencer frontalement Canalsat.
Il faut lire l’entretien croisé en Barack Obama et le directeur du MIT Media Lab Joi Ito publié par le prestigieux magazine techno américain Wired. Vue de notre côté de l’Atlantique, cette longue discussion a de quoi surprendre : le sommet de l’Etat maîtrise les débats que l’on pense réservés à une petite sphère technophile. Barack Obama y apparaît suffisamment à l’aise pour jouer avec les codes et les références culturelles des «geeks» les plus pointus. Elle surprend et permet surtout de mesurer le fossé entre deux façons de faire de la politique.
Source : Obama, l’intelligence artificielle et les politiques français – Libération
Google, Amazon et Facebook sont, dans cet ordre, les trois entreprises technologiques américaines qui dépensent le plus en lobbying pour faire avancer leur cause auprès des législateurs, comme le montre une étude du journal américain The Hill. Pas difficile, dans ces conditions, de comprendre le soin que le gouvernement américain met à défendre les intérêts des GAFA lors des grandes négociations internationales.
Source : Lobbying : Google, Amazon et Facebook ne reculent pas devant la dépense
Bruxelles vient de dévoiler un projet de réforme des télécoms visant à faire entrer l’Europe dans l’ère du très haut débit pour tous.
Trois objectifs stratégiques ont été fixés à l’horizon 2025 :
La Communauté européenne évalue les investissements nécessaires à la réalisation de ce plan à 500 milliards d’euros, dont une large part proviendra de « sources privées », c’est-à-dire des grands opérateurs. Consciente que ces derniers ne pourront/voudront pas supporter seuls tout le poids de cet investissement, elle entend stimuler le co-investissement en allégeant considérablement la réglementation dans ce domaine.
Source : Télécoms : de nouvelles règles pour faire entrer l’Europe dans l’ère du « Gigabit »
La Commission européenne se prépare à lancer des réformes pour inciter les opérateurs à investir davantage d’argent dans la 5G, notamment pour ne pas rater le décollage de l’Internet des objets.
La compagnie de VTC aujourd’hui évaluée à plus de 50 milliards étend progressivement ses activités à de multiples secteurs. Une stratégie de diversification qui a la cote dans la Silicon Valley.
Source : Uber surfe sur les traces des géants du web américain
C’est sûr qu’il a envie de tout uberiser…
Le projet d’EDF de construction de deux réacteurs nucléaires EPR à Hinkley Point, dans le sud-ouest de l’Angleterre, aboutira-t-il un jour ?
Après des mois d’hésitations et de polémique, l’opérateur historique de l’électricité en France, à la forme financière très précaire, avait décidé hier de lancer cette construction, censée lui donner un nouvel élan… en croisant les doigts pour que ce chantier à hauts risques ne l’emmène pas droit à la faillite, comme le craignent les écologistes, l’intersyndicale de l’entreprise (incluant la fédération CFE-CGC Energies), mais aussi certains cadres du groupe. Malgré cette forte opposition, le conseil d’administration avait donc donné son feu vert à cet investissement, chiffré sur le papier à un peu plus de 21 milliards d’euros, l’accord définitif avec l’Etat britannique devant être signé aujourd’hui.
Mais, dans la soirée, surprise ! Le nouveau ministre britannique du commerce et de l’énergie stoppait tout : « Le gouvernement va à présent analyser soigneusement tous les aspects de ce projet et prendra sa décision au début de l’automne ». Le nouvel exécutif britannique va-t-il remettre en cause les engagements du précédent ? Suite de ce feuilleton haletant à la rentrée.
Sources :
EDF décide de lancer Hinkley Point, Londres tergiverse
Hinkley Point : « Les conditions de réussite du projet ne sont pas réunies » (CFE-CGC)