Aux 5000 suppressions d’emplois attendues dans le cadre de l’accord « New Deal » (drôle de nom pour une charrette…) signé cet été chez SFR, pourraient s’ajouter 2000 transferts vers des filiales de la maison mère Altice. Sans oublier le millier de salariés de la branche distribution, non concernée par les accords de préservation des emplois, qui devraient avoir quitté le groupe avant la fin de l’année… et les 1200 à 1300 salariés qui ont déjà quitté l’entreprise, plus ou moins volontairement, selon les syndicats.
Source : Licenciements SFR : les syndicats craignent une casse sociale plus sévère