Narcissisme, manque de créativité, défaut d’empathie… « on pourrait croire, a priori, qu’un déferlement de couleurs, de pixels, de paysages et de visages nourrit l’imagination et renforce la connexion aux autres, [mais] c’est le contraire qui semble se produire. »
Source : Le déferlement d’images sur les réseaux sociaux transforme-t-il notre cerveau ?