Bande 700 MHz : résultat final de la procédure d’attribution

Source : Résultat final de la procédure d’attribution

– l’opérateur SFR est placé en 1re position dans la bande et se voit attribuer 5 MHz duplex, pour un montant de 466 000 000 euros ;

– l’opérateur Orange est placé en 2e position dans la bande et se voit attribuer 10 MHz duplex, pour un montant de 933 078 323 euros ;

– l’opérateur Bouygues Telecom est placé en 3e position dans la bande et se voit attribuer 5 MHz duplex, pour un montant de 467 164 000 euros ;

– l’opérateur Free Mobile est placé en 4e position dans la bande et se voit attribuer 10 MHz duplex, pour un montant de 932 734 001 euros.

Au total, les lauréats devront verser à l’Etat, au titre des redevances pour l’utilisation des fréquences de la bande 700 MHz, la somme de 2 798 976 324 euros.

Pour rappel, les lauréats paieront ces sommes en quatre quarts exigibles :

– à l’attribution des autorisations

– un an plus tard (soit fin 2016) ;

– deux ans plus tard (soit fin 2017) ;

– et trois ans plus tard (soit fin 2018).

A ces sommes viendront s’ajouter une part annuelle variable, égale à un pourcent du chiffre d’affaire réalisé par l’exploitation de ces fréquences.

 

Les opérateurs télécoms en 5 graphiques : actualisation avec les données 2013

Comme chaque année, nous actualisons les graphiques qui permettent d’appréhender, de manière synthétique, les principaux indicateurs clefs des opérateurs de télécommunications en France.

Vous pouvez également retrouver nos analyses des données 2008, 2010, 2011 et 2012.

Ces indicateurs proviennent de l’Observatoire des marchés consolidé par l’Arcep, régulateur français des télécoms, les chiffres étant tirés des séries annuelles depuis 1998, dont nous intégrons les actualisations rétroactives dans nos graphiques. Nous les complétons par l’analyse des données présentées par Orange dans son document de référence 2013.

Ils ne concernent que les opérateurs de télécommunications, hors activité des autres acteurs de la filière, et le marché français.

Les revenus des opérateurs atteignent leur plus bas niveau depuis 10 ans

… tandis que le nombre d’utilisateurs et le trafic ne cessent d’augmenter. Ce sont les services mobiles, engagés dans une spirale « low-cost » depuis l’arrivée de Free Mobile, qui tirent le marché vers le bas (-14% en 2013 vs. -7% pour l’ensemble du marché). Pour la première fois depuis 2005, les revenus du fixe dépassent même ceux du mobile, dont les clients choisissent logiquement les offres toujours moins onéreuses (27% de baisse moyenne des prix en 2013) qui leur sont proposées.

2013_revenusPour pouvoir supporter cette baisse de revenus, les opérateurs poursuivent leur politique de rationalisation des coûts à outrance. Et comme ils doivent continuer à assurer la qualité du service et à développer leurs réseaux, ce sont les salaires et les emplois qui pâtissent de cette stratégie.

Orange entre dans une nouvelle phase de réduction d’effectifs, entraînant vers le bas les statistiques d’emploi du secteur

2013_emploisDe façon logique, la courbe globale d’évolution des emplois suit de près les fluctuations de celle d’Orange, qui représente encore 82% des effectifs du secteur. Les accords d’embauche, négociés en 2009 par les organisations syndicales auprès de la direction de l’opérateur historique dans le cadre du « nouveau contrat social », ont pris fin en 2012. Aussi, et comme nous l’avions prévu, les suppressions d’emplois ont repris en 2013 (-2,8%), entraînant l’ensemble du marché (-3,1%), également impacté par les plans sociaux de SFR et Bouygues Télécom. Cette tendance à la baisse devrait malheureusement se confirmer sur les années à venir.

2013_emplois OrangeEn effet, la Direction d’Orange table sur la suppression de 7 000 emplois entre 2013 et 2015. Les 4 000 embauches annoncées sur la période (1 250 en 2013) ne compenseront pas les 11 000 départs (dont 9 000 retraites, un tiers ayant eu lieu en 2013). Considérée pendant de nombreuses années comme un handicap, la pyramide des âges de l’entreprise s’avère désormais un outil précieux permettant de faire baisser les effectifs sans plan social. Le mouvement devrait s’amplifier dans des proportions encore jamais connues dans l’entreprise : Orange anticipe 30 000 départs en retraite d’ici à 2020, dont une grande partie ne sera pas remplacée.

Alors que les conditions de travail ne se trouvent évidemment pas améliorées par ces réductions d’effectifs, les salaires n’évoluent que très peu. Alors que leur augmentation s’était limitée à 2,5% en 2012, elle a été encore moindre en 2013, avec seulement 2,1% de croissance (voir la présentation des résultats 2013, page 24). D’ailleurs, pour la première fois dans l’histoire de l’entreprise, la masse salariale est en baisse.

Ainsi, mis sous pression par ses concurrents, l’opérateur historique fait porter à ses salariés une bonne partie de son effort de rationalisation des coûts, contribuant à une baisse de pouvoir d’achat en pleine période de crise économique.

2013_emplois alternatifsLa situation n’est pas meilleure, loin s’en faut, du côté des opérateurs alternatifs, responsables de la destruction de plus de 1000 emplois en 2013. SFR et Bouygues Télécom, qui ont mis en place des plans sociaux, ont ainsi supprimé plus de 550 emplois chacun.

Les investissements hors achats de licences se maintiennent

2013_investissementsEn 2012, le montant des investissements des opérateurs avait atteint un niveau record, dopé par les achats de licences 4G, qui représentaient le quart des plus de 10 milliards d’euros investis. En 2013, les opérateurs n’ont réalisé quasiment aucune dépense d’achat de licence et leurs investissements, limités aux infrastructures, sont revenus à un niveau plus « normal » de 7,25 milliards d’euros.

Technicolor pourrait avoir trouvé un investisseur

Le groupe français de technologies en difficultés a demandé la suspension de sa cotation, afin d’étudier dans l’après-midi la proposition d’un investisseur qui souhaite acquérir une part minoritaire.

[…]

L’intersyndicale du groupe doit par ailleurs être reçue mercredi par le ministre de l’Industrie Eric Besson, au sujet de la stratégie du groupe. Technicolor (ex-Thomson) a lancé fin 2011 un plan de réduction de ses effectifs en Europe avec 600 suppressions de postes dont 125 en France (44 à Rennes, le reste à Issy-les-Moulineaux).

Le groupe souhaite également se séparer de son dernier site de production français, situé à Angers (330 salariés), et qui fabrique des décodeurs. L’arrêt de cette activité d’ici à juillet a été acté par le groupe et confirmé par son PDG, Frédéric Rose. Technicolor a été le premier fabricant français de téléviseurs dans les années 1990, avant de se réorienter vers les services créateurs de contenu pour le cinéma et la télévision.
La société compte 17.000 salariés dans le monde, dont environ 1.900 en France où elle disposait d’une dizaine de sites de production au début des années 2000.

A lire en texte intégral sur L’Expansion.

Les limites de la concurrence dans les télécoms

Le Monde daté du 20 septembre publie un article d’Olivier Voirin (DuVarroy Consulting), qui expose de manière claire des concepts souvent oubliés lorsqu’on ne voit les télécoms que sous l’angle dogmatique de la concurrence. Cette vision dogmatique est également populiste, en ce sens qu’elle donne une vision simpliste des règles de fonctionnement du marché des télécoms, en faisant l’impasse sur l’une des données clefs du métier d’opérateur : le fait qu’il s’agit d’une activité essentiellement basée sur les coûts fixes, avec des niveaux d’investissement élevés, qui nécessitent donc de sécuriser les ressources des opérateurs.

Toute la démonstration est intéressante, l’un des paradoxes soulevés par les conclusions du papier est particulièrement croustillant… ou déplorable, selon le point de vue qu’on adopte :

Aucun des nouveaux acteurs du fixe n’a investi de façon significative dans la partie terminale du réseau, considérant que le prix du dégroupage de la ligne cuivre offrait une opportunité bien plus intéressante. La conséquence de cette situation est qu’aucun des acteurs actuels ne dispose des ressources pour mettre en place le réseau du futur, la fibre, en remplacement de la paire de cuivre. Ni l’opérateur historique qui ne dispose ni des ressources venant de ses clients résidentiels du fait de la baisse des prix, ni de celles de la vente en gros en raison des prix orientés vers les coûts du dégroupage et des tarifs d’interconnexion, ni ses concurrents qui pour acquérir des parts de marché ont fixé leur niveau de prix (30 euros) au minimum. Le marché s’est ainsi équilibré à un niveau de prix qui ne permet pas la modernisation des réseaux. La conséquence est paradoxale : l’ouverture à la concurrence, avec des contraintes réglementaires asymétriques portant uniquement sur le propriétaire du réseau, d’une activité dynamique, rentable, d’un intérêt social et économique évident, pour laquelle dans les années 1990 la France disposait d’acteurs industriels puissants, a eu comme conséquence de créer une situation dans laquelle aucun des acteurs n’est capable de financer l’infrastructure sur laquelle il peut développer son service sans le secours de la puissance publique, au niveau local ou national.

Selon nous, il manque un élément d’analyse, tout aussi paradoxal : concernant l’opérateur historique, le montant exorbitant du dividende (supérieur au bénéfice consolidé pour l’exercice 2009 rappelons-le, tandis-que l’engagement de maintenir le niveau du dividende pour les 3 prochains exercices, 2010-2012, privera l’entreprise de 11 milliards d’euros de fonds propres) contribue à l’asphyxie de ses capacités d’investissement dans les nouveaux réseaux.  Le niveau aberrant de ce dividende est pour l’essentiel le fait de … l’État, actionnaire principal (27% du capital), et dont on sait qu’il cherche désespérément à renflouer ses caisses, et fait pression sur le Conseil d’Administration de France Télécom pour s’assurer des recettes. Pour financer le déploiement du réseau de fibre ? et redistribuer aux concurrents une partie du CA de l’opérateur historique, lui aussi soumis à la concurrence ?

Étonnant, non ?

A lire :

Pour relancer l’économie : et si on fermait la Bourse ?

Le Monde Diplomatique, jamais en retard d’une fine analyse, livrait dans son numéro de février un excellent papier de Frédéric Lordon, économiste et auteur de La Crise de trop. Reconstruction d’un monde failli. Excellent, argumenté, avec une pointe d’humour caustique tout à fait plaisante, il sera bientôt en ligne dans son intégralité.

Le papier s’ouvre sur une évocation de France Télécom :

Il a fallu la « mode du suicide » si délicatement diagnostiquée par M. Didier Lombard, président-directeur général (PDG) de France Télécom, pour offrir l’occasion, mais si peu saisie dans le débat public, de se souvenir de ce dégât quotidien de la finance actionnariale dont les injonctions à la rentabilité financière sont implacablement converties par les organisations en minimisation forcenée des coûts salariaux, destruction méthodique de toute possibilité de revendication collective, intensification épuisante de la productivité et dégradation continue des conditions matérielles, corporelles et psychologiques du travail.

Pour illustrer les « extravagantes demandes du capitalisme » (dixit), il aurait pu aussi parler des dividendes versés aux actionnaires de France Télécom pour l’exercice 2009,  supérieurs aux bénéfices de l’entreprise ! Sa démonstration en tous cas ne fait que conforter nos analyses, que vous pouvez retrouver sur ce blog et celui de l’ADEAS, Association pour la Défense de l’Epargne et de  l’Actionnariat des Salariés de France Télécom-Orange.

Pour notre part, nous répondons trois fois « oui » aux suggestions de Frédéric Lordon. Qui au pouvoir aura le courage de s’en emparer ?

A lire:

France Télécom: un dividende aux actionnaires… supérieur au bénéfice

France Télécom vient de présenter ses résultats 2009. On y remarque un chiffre d’affaires en baisse de 3,7 %, (à 45,94 milliards d’euros) et un résultat net également en baisse, avec un décalage criant entre deux chiffres (relevé dans un communiqué du syndicat CFE-CGC/Unsa de France Télécom-Orange – PDF):

la direction prévoit un dividende de 1,40 euro par action pour 2009, soit un versement de 3,65 milliards d’euros aux actionnaires. Cela alors que le résultat net part du groupe en données publiées est de 2,997 milliards contre 4,069 milliards en 2008 (-.26,3%).

Porte-monnaieImage _SoFie (Flickr) sous licence CC by-nc-sa

Cette politique financière se fera donc au détriment soit de l’endettement, aggravé, soit de l’investissement. La CFE-CGC/UNSA demande au conseil d’administration et aux actionnaires la baisse immédiate du niveau des dividendes (à 0,5 euro au lieu de 1,40). Cette baisse permettrait une réduction des frais financiers de 150 millions d’euros par an. Soit le coût annuel de 3 000 emplois sauvés, tout en maintenant le même niveau de bénéfice.

A noter: si d’autres grandes entreprises comme BNP ou Axa augmentent leur dividende aux actionnaires, elles ont, elles, accru – et dans une plus grande proportion que leur dividende – leur bénéfice en 2009: BNP Paribas augmente son dividende de 50% et a presque doublé son bénéfice net, Axa accroît de 37,5% son dividende et a quadruplé son bénéfice net l’an dernier.

A lire aussi

France Télécom: Didier Lombard abandonne la direction à Stéphane Richard – 2 février 2010

Le petit monde consanguin des «grands patrons» – 30 janvier 2010

Radio numérique terrestre: brouillage sur les ondes

Le lancement de la radio numérique terrestre en France se fera-t-il progressivement comme celui de la TNT, ou va-t-il s’enliser? Les rapports et propos contradictoires montrent un flou croissant sur le sujet, sur fond de grande incertitude économique.

Rapport Tessier: remise en cause du calendrier et des modalités

En novembre a été remis au CSA le rapport de Marc Tessier sur la radio numérique terrestre («Les perspectives de financement du projet de radio numérique terrestre»). Pour le moins sceptique, l’ancien PDG de France Télévisions estime qu’il «est encore temps de s’interroger sur l’opportunité du projet». Quel serait le modèle économique de la radio numérique terrestre (RNT), se demande-t-il, alors que les investissements nécessaires seraient de 600 millions à un milliard d’euros en dix ans?

Vieux récepteurs radios: autrefois à la pointe du progrès...
Vieux récepteurs radios: autrefois à la pointe du progrès...

Image Elsie esq. (Flickr) sous licence CC by

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Le ministre de l’Aménagement du territoire souhaite un milliard d’euros pour le très haut débit

Actu express: Michel Mercier, ministre de l’Espace rural et de l’Aménagement du territoire, a proposé ce mardi au Premier ministre François Fillon qu’au moins un milliard d’euros du futur grand emprunt soit consacré au déploiement du très haut débit fixe et mobile en France. Ce montant serait le début d’un « Fonds national d’aménagement numérique du territoire » pour soutenir des projets locaux non rentables pour les opérateurs, selon le communiqué du ministre.

Le 23 octobre, le même ministre ainsi que Bruno Le Maire, ministre de l’Agriculture, et Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d’Etat à la Prospective et au Développement de l’économie numérique, ont annoncé le lancement d’un appel à projet pour la couverture haut débit des zones rurales. Il est doté de 30 millions d’euros de fonds européens (FEADER) dans le cadre du plan de relance européen au profit de la couverture haut débit des zones rurales.

A voir aussi

230.000 abonnés au très haut débit fixe en France – 29 septembre 2009

Séminaire «Numérique: investir aujourd’hui pour la croissance de demain» – 16 septembre 2009

Fibre: et pourquoi pas un service universel? – 16 juillet 2009

secrétaire d’État à la prospective et au développement de l’économie numérique

Séminaire « Numérique: investir aujourd’hui pour la croissance de demain »

Actu express: jeudi dernier s’est tenu le séminaire « Numérique: investir aujourd’hui pour la croissance de demain », présidé par Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d’État chargée de la Prospective et du Développement de l’économie numérique (« NKM » a d’ailleurs écrit sur Twitter – « tweeté » – en direct du séminaire, rapporte Rue89).

Le Monde informatique: L’économie numérique française plaide sa cause devant les arbitres du Grand emprunt

Dépêches AFP:

Le numérique a les faveurs de Fillon pour bénéficier du grand emprunt

Grand emprunt: « le numérique a toutes ses chances », selon Alain Juppé

Les discours et synthèses de cette journée du 10 septembre sont publiés sur strategie.gouv.fr.

Grand emprunt: « le numérique a toutes ses chances », selon Alain Juppé

Ma jolie entreprise ne connaît pas la crise… mais ses salariés, si!

Les résultats du second semestre tombent les uns après les autres, affichant pour la plupart des bénéfices supérieurs aux attentes des analystes, en dépit de chiffres d’affaires en baisse sur fond de crise économique.

L’Expansion nous explique ce petit miracle :

Mais c’est surtout par des mesures d’économies drastiques – arrêt des investissements et suppressions de postes – que les entreprises peuvent afficher des taux de marge nette étonnamment élevés, au vu de la conjoncture. « A l’inverse des crises précédentes, les entreprises se sont plus rapidement adaptées à la récession, via un ajustement de leur production, de leur base de coûts, mais aussi grâce à d’importants efforts de restructuration », explique Benoit Peloille. Ces efforts étant plus faciles à mettre en oeuvre aux Etats-Unis, les entreprises américaines ont d’ailleurs publié des résultats meilleurs que les entreprises européennes.

C’est le cas des banques, qui outre-Atlantique ont largement tiré profit de l’évolution boursière de ces derniers mois, mais aussi des 260.000 suppressions de postes du secteur financier. Ou encore des centaines d’entreprises qui ont supprimé des milliers de postes et réduit de manière drastique la main-d’oeuvre externalisée. Les exemples, dans ce sens sont multiples, l’américain 3M, le constructeur Ford, le portail internet Yahoo!, le fabricant d’engins de chantier Caterpillar, ou encore l’équipementier Continental, ont tous affiché un bénéfice supérieur aux attentes…

Ce n’est pas une surprise, et les nombreuses victimes des suppressions de postes depuis le début de l’année le savent bien. En dépit des rodomontades de différents responsables politiques, les règles impitoyables du capitalisme financier continuent de s’appliquer : les entreprises privilégient le bénéfice par actions à court terme, au détriment des emplois et de l’investissement nécessaire au maintien d’une activité pérenne.

Affrontements sur la fibre optique: le régulateur tape du poing sur… France Télécom

La décision de l’Arcep le 22 juin sur le déploiement de la fibre optique a tout pour satisfaire les concurrents de France Télécom. Reste à savoir si ce sera au bénéfice des consommateurs: le risque n’est pas négligeable de voir gelé le déploiement de la fibre et donc du très haut débit en raison des incertitudes économiques qu’engendre le choix du régulateur.

Fibre optique
Fibre optique

Image rq? (Flickr) sous licence CC by-sa

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Internet et téléphone mobile, outils du développement

La Banque mondiale publie son deuxième rapport où elle compare les résultats de 150 pays quant aux technologies de l’information et de la communication (TIC), mis en perspective avec des indicateurs sociaux et technologiques.

Publicité pour un téléphone mobile à Kampala, Ouganda
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Photo futureatlas (Flickr) sous licence CC by

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