Martin Bouygues s’interroge sur l’avenir de TF1 à l’heure d’Internet

Actu express: scoop des Echos, qui dans un article mis en ligne vendredi, « Martin Bouygues fait plancher ses cadres sur l’avenir du média TV« , annoncent que le PDG du groupe premier actionnaire de TF1 a commandé à une poignée de cadres un rapport interne sur le thème « Face à Internet, que sera la télévision de l’avenir ? ».

Un sujet chaud, note le quotidien économique, alors que l’audience de TF1 glisse doucement et que la montée de la vidéo sur Internet et de la TNT fait concurrence aux émissions hertziennes.

Commandé avant l’été, ce rapport devrait être remis en janvier, selon Les Echos. Il est préparé par « cinq ou six cadres de haut niveau », de Bouygues Batiment, Exprimm (services à l’immobilier), Bouygues Télécom et, pour un seul, TF1.

Pour Hondelatte & co sur RTL, les suicides dans l’entreprise ne sont pas l’affaire des syndicats

Suicides à France Télécom selon RTL: «Syndicats, circulez, y a rien à voir»: sous ce titre éloquent, Grégory Salle, de l’association Acrimed (Action-critique-médias) rend compte d’un « débat » de quelques minutes sur RTL le 8 septembre. Dans « On refait le monde » de Christophe Hondelatte, la fin de l’émission a été consacrée ce jour-là aux suicides à France Télécom, et au rôle des syndicats.

Un festival de sous-café du commerce, lancé par un Hondelatte qui questionnait: « il y a eu 22 suicides depuis janvier 2008, dont 6 suicides depuis mi-juillet sur l’ensemble des personnels France Télécom. Avec un débat qui a quand même fait douter certains syndicats : est-ce qu’on peut faire un usage revendicatif de ces suicides, est-ce que ces suicides ont des explications liées aux conditions de travail, est-ce qu’on peut s’emparer syndicalement, politiquement d’ un suicide pour en faire un combat syndical ? »

Le débat commençait bien (« s’emparer », « un » suicide, pour un peu les syndicats étaient les responsables…), la suite, avec Jean-Luc Mano, Alain-Gérard Slama, Anne-Sophie Mercier et Ivan Rioufol, fut ce qu’on pouvait en attendre avec pareil lancement.

Dans ce défilé de propos douteux voire d’une mauvaise foi caricaturale, tout est à lire dans l’article d’Acrimed. Signalons juste ces deux fleurons:

– « Il y a quand même quelque chose qui ne tourne pas rond,  et je trouve que France Telecom de toute façon pousse un petit peu trop ses tarifs » (Alain-Gérard Slama).

– « Moi je ne pense pas qu’on puisse en faire un, moi non plus je vois pas comment on peut en faire un combat syndical, c’est trop complexe, trop intime, trop délicat. En revanche, il peut y avoir une réflexion sur des méthodes de management qui peuvent être particulièrement atroces de la part de petits chefaillons (…) Peut-être qu’il y aurait une réflexion à avoir dans les écoles de commerce » (Anne-Sophie Mercier, Charlie-Hebdo).

Bourse : inconscience ou cynisme ?

Dans Les Echos de ce jour, quatre experts de la gestion de portefeuille boursier présentent leurs valeurs préférées.

Citations :

Didier Bouvignies,   responsable de la gestion chez Rothschild & Cie Gestion :

« Pour mes valeurs favorites, je donnerai France Télécom et Sanofi, car il y a du rendement et le risque est faible. » […] »En dernier lieu, j’évoquerai Air France, car le groupe a pris la mesure de la nécessité de réduire ses coûts. »

Arnaud Tourlet,   gérant actions françaises chez HSBC Private Wealth Managers

« Je citerai enfin une mid-cap : Teleperformance, leader mondial des centres d’appels. L’entreprise est bien gérée, elle n’a pas de dettes. C’est une entreprise de croissance. Elle fait régulièrement des acquisitions et ouvre des centres d’appels dans des pays où la main-d’oeuvre n’est pas chère. C’est une entreprise qui dégage beaucoup de “free cash-flow” et qui se paie un peu moins de dix fois les bénéfices. « 

France Télécom doit proposer un nouveau « contrat social » après 22 000 suppressions d’emplois et 23 suicides,  Téléperformance est en plein plan social, Air France annonce un plan de « départ volontaire » de 1500 personnes.

Mais sur le marché des actions, « tout va très bien, Madame la Marquise »…

L’observatoire du stress censuré sur l’intranet de France Télécom

Actu express: Eco89 / Rue89 le signale dans un article titré « Le stress censuré sur l’intranet de France Télécom », le site de l’observatoire du stress et des mobilités forcées France Télécom est bloqué en accès interne pour les salariés de l’opérateur depuis sa création en 2007.

Un renvoi aux poubelles du Net au même titre que la pornographie, justifié par la direction auprès du journaliste de Rue89 par la « méthodologie discutable » selon elle des études de l’observatoire. Pour la « méthodologie » du dialogue et de l’auto-examen chez certains managers, on en reparlera…

Sur ce blog

« Orange stressé » vient de paraître aux éditions La Découverte (24 septembre 2009)

Derrière le malaise à France Télécom, délocalisations et stress (15 septembre 2009)

La litanie des suicides à France Télécom: à quand la remise en cause d’une politique toxique? (13 septembre 2009)

Séminaire « Numérique: investir aujourd’hui pour la croissance de demain »

Actu express: jeudi dernier s’est tenu le séminaire « Numérique: investir aujourd’hui pour la croissance de demain », présidé par Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d’État chargée de la Prospective et du Développement de l’économie numérique (« NKM » a d’ailleurs écrit sur Twitter – « tweeté » – en direct du séminaire, rapporte Rue89).

Le Monde informatique: L’économie numérique française plaide sa cause devant les arbitres du Grand emprunt

Dépêches AFP:

Le numérique a les faveurs de Fillon pour bénéficier du grand emprunt

Grand emprunt: « le numérique a toutes ses chances », selon Alain Juppé

Les discours et synthèses de cette journée du 10 septembre sont publiés sur strategie.gouv.fr.

Grand emprunt: « le numérique a toutes ses chances », selon Alain Juppé

France Télécom : le problème, c’est la génération bonus!

Florence Noiville, journaliste au Monde et auteur de « J’ai fait HEC et je m’en excuse » ne mâche pas ses mots. Interrogée par Marianne 2 sur la situation à France Télécom, elle dit notamment :

Partout où l’on pousse à bout le principe MMPRDC, « Make more profit, the rest we don’t care ». Partout, cette maximisation du profit se fait au détriment de la dimension humaine. Faire sortir une personne de la masse salariale est considéré comme une victoire. L’humain devient l’ennemi, une source de coûts à contenir le plus possible. Mais la charge de travail ne baisse pas, le stress est plus grand et le sentiment de culpabilité de voir ses camarades partir alors qu’on reste se développe.

L’interview au complet sur Marianne 2.

Série sur la presse écrite mondiale dans Les Echos

Secouée dans le monde entier par la crise et par la montée d’Internet et de nouveaux modes de consommation de l’information, la presse écrite est en quête de renouveau. C’est ce qu’expose Les Echos dans une série d’articles intitulée « Quand la presse écrite mondiale tente de se réinventer », parue du 11 au 20 août dans le quotidien et (gratuitement) toujours en ligne sur son site.

Projets de passage au payant sur le Net du groupe Murdoch, supports de lecture numérique comme ceux d’Amazon ou d’Apple, réussite d’El Confidencial, site espagnol bénéficiaire depuis cinq ans, presse allemande très lue mais qui se bat contre la baisse des tirages et des revenus… pas de solution miracle en vue, mais un panorama plein d’informations à dévorer.

Sur le même sujet

Taxer les FAI pour financer la presse, une mauvaise réponse à une vraie question, le 17 juin 2009

Réforme des services publics: dogmatisme et laboratoire de changement du statut des salariés

Engageant une réflexion sur l’évolution du statut de La Poste, Mediapart livre une analyse très intéressante, tant sur le dogmatisme de la privatisation des services publics…

Alors que l’argent public a servi ces derniers mois à soutenir, pour le « Bien commun », les banques privées en difficulté, il est désormais nécessaire de privatiser les services publics qui ne l’ont pas encore été, c’est-à-dire de créer les conditions juridiques et économiques de l’appropriation des biens publics. Comme si la crise et les « solutions » qui lui sont apportées n’avaient pas suffi à démontrer les insuffisances, les contradictions et les dangers de l’administration privée des biens communs – son incapacité, en l’état, à œuvrer à long terme dans l’intérêt général – elle sert aujourd’hui de prétexte pour s’attaquer à l’un des bastions de la fonction publique française.

… que sur les conséquences en matière de conditions de travail dans l’ensemble des entreprises françaises. Après une analyse des effets de l’introduction de nouvelles « méthodes de travail » à La Poste et chez France Télécom, l’article conclut de manière inusitée sur l’évolution du statut du salariat en France, qui appelle à une extrême vigilance:

La réforme de La Poste offre de nombreux points de comparaison (dont l’analyse doit être approfondie) avec celle de France Telecom et avec les réformes en cours dans l’ensemble de la fonction publique. Avec ces réformes, l’introduction des « méthodes de management » et de « gestion des ressources humaines » semble dépasser, par leurs effets sur les salariés, ce qui avait été observé jusqu’alors dans le secteur privé d’où elles viennent. Il se pourrait même que certaines de ces transformations, notamment la « mobilité » des fonctionnaires, soient expérimentées dans la fonction publique, laboratoire des conditions de travail de demain. Cette « mobilité », ce flou des statuts rappellent en effet la flexibilité des travailleurs tant invoquée, souhaitée et appelée à se développer ces dernières années. Elles entrent en écho avec l’adoption récente d’un projet de loi qui donne la possibilité aux entreprises de prêter leurs « ressources humaines » – une pratique qui avait été interdite en France en même temps que l’esclavage il y a presque 200 ans. Ces transformations imposent de se demander si les conditions de vie et la liberté des salariés sont un bien commun inaliénable ou non. Avec ces réformes, les citoyens sont placés face à un choix profond de société qui engage leur responsabilité les uns par rapport aux autres.

Un article à lire in extenso et sans modération sur Mediapart.

Le quizz de l’été

Qui a dit :

L’échéance est juridiquement inéluctable ! Cependant, il faut bien avoir conscience qu’elle n’est, par beaucoup d’aspects, que la conséquence d’une évolution technologique irrésistible qui produit les mêmes effets partout dans le monde et qui répond à de puissantes raisons économiques.

Si la bourrasque commerciale doit régénérer l’entreprise, elle ne doit pas tout emporter sur son passage. Toutes les prestations […] n’ont pas vocation à être soumises aux lois du marché. […] Le service public ne doit pas être affecté par la disparition du monopole.

[La transformation en SA] ne saurait s’envisager qu’avec l’Etat comme actionnaire majoritaire : l’entreprise doit rester une entreprise publique.

Maintien solennel du statut de fonctionnaire des personnels. […] Ceci devra figurer en termes parfaitement clairs dans le texte de la loi que le Parlement aura à élaborer.

Si vous pensez qu’il s’agit de Luc Chatel lors de la présentation du projet de loi transformant La Poste en société anonyme, vous pouvez cliquer sur les citations, qui vous conduiront vers le texte original dont elles sont extraites :  le rapport du sénateur Larcher (1995), qui a servi de base à l’élaboration de la loi de privatisation de France Télécom.

Étonnant, non?

Nous aurons l’occasion de revenir en détail sur les différents effets de cette privatisation de France Télécom. Vous pouvez d’ores et déjà consulter notre analyse de l’évolution des emplois :

Ma jolie entreprise ne connaît pas la crise… mais ses salariés, si!

Les résultats du second semestre tombent les uns après les autres, affichant pour la plupart des bénéfices supérieurs aux attentes des analystes, en dépit de chiffres d’affaires en baisse sur fond de crise économique.

L’Expansion nous explique ce petit miracle :

Mais c’est surtout par des mesures d’économies drastiques – arrêt des investissements et suppressions de postes – que les entreprises peuvent afficher des taux de marge nette étonnamment élevés, au vu de la conjoncture. « A l’inverse des crises précédentes, les entreprises se sont plus rapidement adaptées à la récession, via un ajustement de leur production, de leur base de coûts, mais aussi grâce à d’importants efforts de restructuration », explique Benoit Peloille. Ces efforts étant plus faciles à mettre en oeuvre aux Etats-Unis, les entreprises américaines ont d’ailleurs publié des résultats meilleurs que les entreprises européennes.

C’est le cas des banques, qui outre-Atlantique ont largement tiré profit de l’évolution boursière de ces derniers mois, mais aussi des 260.000 suppressions de postes du secteur financier. Ou encore des centaines d’entreprises qui ont supprimé des milliers de postes et réduit de manière drastique la main-d’oeuvre externalisée. Les exemples, dans ce sens sont multiples, l’américain 3M, le constructeur Ford, le portail internet Yahoo!, le fabricant d’engins de chantier Caterpillar, ou encore l’équipementier Continental, ont tous affiché un bénéfice supérieur aux attentes…

Ce n’est pas une surprise, et les nombreuses victimes des suppressions de postes depuis le début de l’année le savent bien. En dépit des rodomontades de différents responsables politiques, les règles impitoyables du capitalisme financier continuent de s’appliquer : les entreprises privilégient le bénéfice par actions à court terme, au détriment des emplois et de l’investissement nécessaire au maintien d’une activité pérenne.

La « crise » est d’abord une crise de confiance généralisée

Le Monde relate les points clefs des XXIVes Rencontres de Pétrarque, centrées cette année sur le thème « Après la crise, quelle(s) révolution(s) ? ».

Les conclusions ne sont pas très optimistes, et ne débouchent pas sur une voie toute tracée, d’autant moins que le vocabulaire semble devoir être ré-étalonné, et qu’il n’y a pas de projet motivant en perspective. Citation :

Si la guerre est apparue comme une perspective vraisemblable, il n’en fut pas de même de la révolution. A partir de prémices opposées, Alain Krivine, cofondateur du Nouveau Parti anticapitaliste, et l’historien Alain-Gérard Slama, sont parvenus à une conclusion semblable : la crise suscite une colère profonde, mais pour que celle-ci débouche sur un soulèvement, il faut une alternative. Or il n’existe plus aucune « promesse de bonheur collectif », a dit M. Slama ; partout le « chacun pour soi » l’emporte sur le « tous ensemble », a complété M. Krivine.

Si vous avez le coeur bien accroché et ne souhaitez pas « bronzer idiot », vous pouvez écouter Les Rencontres de Pétrarque : elles seront diffusées sur France Culture du 10 au 14 août, de 20 h 30 à 22 heures.

Télévision : le CSA croit à des concentrations

Michel Boyon, président de l’autorité de régulation de l’audiovisuel, est interviewé dans Les Echos. Morceaux choisis :

A l’instar du rachat par TF1 des chaînes TMC et NT1, certains pensent que la concentration va se poursuivre sur le marché de la télévision numérique terrestre. Y êtes vous favorable?

Le rachat de TMC et NT1 par TF1 n’a pas encore été notifié au CSA. Vous me permettrez donc de ne pas me prononcer sur cette opération. Je suis persuadé néanmoins que les concentrations vont se poursuivre dans le secteur de la télévision. C’est le sens de l’histoire. Mais le CSA sera très vigilant sur tous les regroupements à venir. Il veillera au maintien de la pluralité des acteurs et s’assurera que la concurrence s’exerce le mieux possible. Il faut être conscient que les grands groupes audiovisuels français n’ont pas encore la taille suffisante pour affronter la compétition européenne, qu’il s’agisse de TF1 et M6 pour la télévision gratuite ou de Canal pour le payant.

L’Autorité de la concurrence propose de limiter à un ou deux ans les exclusivités d’Orange. Cette recommandation vous paraît-elle pertinente?

L’avis de l’Autorité de la concurrence est très proche de celui qu’avait rendu le CSA. Nous partageons la même philosophie. Il se différencie néanmoins par la durée consentie à un opérateur pour développer des exclusivités : il me paraît très difficile de construire un nouveau service sur un socle économique et financier solide en un ou deux ans comme le recommande l’Autorité de la Concurrence. Le CSA avait pour sa part préconisé un délai plus long, en maintenant l’opérateur sous surveillance afin de vérifier que les équilibres du marché et les possibilités d’accès du public ne soient pas perturbés.

La fin d’un certain monde ultralibéral

Dans une interview à La Tribune, le philosophe André Comte-Sponville s’exprime sur les leçons de la crise.  Citation :

D’abord l’amoralité du capitalisme. Certains se sont enrichis scandaleusement, y compris en laissant leur entreprise au bord de la faillite, quand d’autres, qui ont fait leur travail correctement, se retrouve au chômage ou dans la misère. Vous trouvez ça moral ? La crise confirme aussi que le capitalisme est incapable de se réguler lui-même d’une façon socialement et moralement acceptable. Il y a certes une autorégulation du marché (c’est le cas, notamment, de cette crise), mais qui produit des effets moralement choquants et socialement destructeurs. Bref, les ultralibéraux avaient tort. Le marché ne suffit pas à tout.Troisième confirmation: cette crise nous montre une nouvelle fois que la morale est incapable de réguler l’économie. Ce n’est pas nouveau. Si on avait compté sur la conscience morale des chefs d’entreprise pour améliorer le sort de la classe ouvrière, nous serions toujours au XIXe siècle ou chez Zola. Mais la crise l’illustre une nouvelle fois. Si on avait compté sur la conscience morale des banquiers pour éviter les crises financières, nous serions… dans la crise que nous connaissons ! D’où une quatrième et dernière confirmation. Si le marché est incapable de se réguler suffisamment lui-même, et si la morale est tout aussi incapable de réguler l’économie, que reste-t-il? Il ne reste que le droit et la politique! C’est ce qu’on appelle aujourd’hui « le retour des États », et c’est une bonne nouvelle. Il s’agit de fixer des limites non marchandes au marché. Ce n’est pas la fin du libéralisme, bien au contraire, mais la fin, au moins provisoire, d’un certain nombre d’illusions ultralibérales.

Le titre de l’article n’est pas sans évoquer le thème de l’Université d’été de la CFE-CGC/Unsa: « La fin d’un certain capitalisme », qui s’est tenue les 6 et 7 juillet derniers, et dont nous vous reparlerons très bientôt.

La mort de Michael Jackson, événement planétaire qui montre l’omniprésence des réseaux

Quelques jours après la mort brutale de Michael Jackson, alors que les futurs hommages et obsèques alimentent les supputations des médias, on ne peut que mesurer l’omniprésence des réseaux électroniques dans nos vies quotidiennes à travers l’incroyable impact qu’a eu l’événement.

Michael Jackson, statue de Jeff Koons lors de son exposition à Versailles
Michael Jackson, statue de Jeff Koons lors de son exposition à Versailles

Photo dalbera (Flickr) sous licence CC by

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Internet et téléphone mobile, outils du développement

La Banque mondiale publie son deuxième rapport où elle compare les résultats de 150 pays quant aux technologies de l’information et de la communication (TIC), mis en perspective avec des indicateurs sociaux et technologiques.

Publicité pour un téléphone mobile à Kampala, Ouganda
Publicité pour un téléphone mobile à Kampala, Ouganda

Photo futureatlas (Flickr) sous licence CC by

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